Pour Flávio Gomide, chef d’entreprise chez Omexom Brésil, le métier d’ingénieur chez VINCI Energies offre une double opportunité : contribuer activement à la transition énergétique et développer ses capacités d’entrepreneur au service de projets qui améliorent la vie des gens.
Flávio Gomide, chef d’entreprise chez Omexom Brésil, est très attaché à l’impact environnemental de son travail. « C’est très important pour moi de voir que nos projets participent concrètement à la transition énergétique », lance-t-il. Au Brésil, où le parc de centrales hydroélectriques qui représente près des deux tiers de la production d’électricité du pays est âgé en moyenne de plus de 30 ans, les besoins sont immenses. « Nous contribuons activement à la modernisation des unités de production, notamment en les digitalisant », souligne cet ingénieur de 43 ans très attaché aux projets qui changent concrètement la vie des gens.
Flávio Gomide est à la tête d’une équipe de 40 personnes spécialisées dans les énergies hydroélectrique et solaire. « Ce que j’apprécie beaucoup chez VINCI Energies, c’est l’autonomie, explique-t-il. Je suis comme un véritable chef d’entreprise, gérant à la fois l’opérationnel et la relation avec les clients. Chaque année, en septembre, je présente la stratégie à trois ans de mon activité, un plan d’action coconstruit avec mon équipe, qui ne vient pas d’en haut. Ce mode de fonctionnement, spécifique à VINCI Energies, est très gratifiant et motivant. »
Son équipe travaille actuellement sur trois gros projets : la modernisation de l’usine hydroélectrique du barrage de Jaguara du groupe Engie, de la centrale Nova Ponte de Cemig Geração e Transmissão et de la ferme solaire Horizonte d’Enel. Flávio Gomide estime qu’il y a la place, sur le marché brésilien, pour créer et diriger deux entités, dédiées respectivement aux marchés du solaire et de l’hydroélectricité.